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Les artistes en résidence

Chaque année, la Cité internationale des arts accueille plus de 1 000 artistes du monde entier, leur offrant un espace de création, de recherche et d’échange unique. Ouverte à toutes les disciplines artistiques – arts visuels, musiques, littérature, cinéma, design et architecture, spectacle vivant ou encore commissariat d’exposition – elle leur permet de développer leurs pratiques et leurs projets dans un environnement propice à l’expérimentation.

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Yan Cai

Année/s de résidence : 2009, Académie des Beaux-Arts de Guangzhou, Chine

Arts visuels

Yi Cai

Année/s de résidence : 2005, Institut des Arts de Yunnan, Chine

Littératures

Ze Bin Cai

Année/s de résidence : 2008, Académie des Arts de Hangzhou, Chine

Arts visuels

Zhen HuiI Cai

Année/s de résidence : 1982, Cité internationale des arts

Arts visuels

Santiago Caicedo

Année/s de résidence : 2007, Cité internationale des arts

Arts visuels

Jean-Louis Caillard

Année/s de résidence : 1977, 1980, Cité internationale des arts, Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, France

Musiques

Sarah Caillard

Année/s de résidence : 2022, Cité internationale des arts

Arts visuels

Née en 1988 à Paris, Sarah Caillard est diplômée en arts visuels à l’École Nationale Supérieure de La Cambre en 2014. À travers sa pratique artistique composée de sculptures, de vidéos, de photographies et de dessins avec lesquels elle crée des installations, l’artiste construit une mythologie qui exprime l’altérité présente en chacun d’entre nous. Au sein de cette mythologie, les différentes représentations figuratives ne sont pas divisibles les unes des autres, elles se complètent pour évoquer la complexité et la pluralité de l’être.

Son travail interroge les mécanismes sous-jacents à l’œuvre dans notre construction en tant qu’individus au sein d’une société. Elle utilise ces mêmes procédés pour créer des récits de fiction. Plus spécifiquement, elle s’intéresse au regard, à ce qu’il peut générer comme rapport de projection et de domination et aux rôles qu’occupe l’imaginaire dans notre perception des autres et de nous-mêmes. Sa recherche s’oriente vers les mythes, les légendes, les faits historiques, mais aussi les divertissements et autres phénomènes culturels, en particulier de la civilisation occidentale. Inspirée de la philosophie et de la psychanalyse – revisitée d’un intérêt pour le merveilleux -, elle enquête sur leurs sources, leurs origines, leurs influences et leurs ré-interprétations pour ensuite trouver des similitudes avec des symboles, des archétypes et des formes de représentation qui appartiennent à l’imaginaire collectif. Ceci lui permet de révéler les motifs narratifs et/ou visuels à l’œuvre à travers l’Histoire, des motifs qui dévoilent des codes sensibles qui nous sont transmis à notre insu et qui participent à notre construction en tant qu’être humain, c’est-à-dire de l’être social.

Elle envisage ces liens et motifs comme des figures fantomatiques qui nous traversent sans jamais nous appartenir. Ces figures représentent la présence de l’altérité, comme autant de facettes qui définissent l’individu, comme une entité multiple. Elle les incarne en sculptures en y créant des personnages avec différents matériaux et techniques pour figurer leur rapport allégorique. Dans ces vidéos, des maquettes et installations sont utilisées comme décors et les sculptures deviennent des accessoires.

“Je suis esthétiquement attirée par les vidéos amateur provenant de YouTube, d’Instagram… moments d’expressions individuelles qui peuvent être rassemblés pour former une entité créative collective. C’est l’esthétique de ces formes d’expression quotidiennes que j’essaie d’intégrer dans mon travail. Je les combine avec des effets spéciaux Low Fi et des décors bricolés (tels que l’écran vert, la technique d’incrustation, la créations de maquettes, de costumes, etc). Je cherche à conserver la fragilité de ces gestes autant que leur potentiel magique. Je m’inspire également de l’univers des cartoons et du cinéma.” – Sarah Caillard 

Ces différents procédés sont réunis dans des installations qui désignent un point de vue pour positionner le spectateur comme témoin, voyeur ou voyant. Elle crée ainsi différentes temporalités et matérialités au sein de l’œuvre qui s’expérimente de manière physique – lors de l’exposition des sculptures ou installations – mais aussi de manière virtuelle par l’accès à des liens vidéos. Un même “objet” a ainsi plusieurs niveaux de lecture, son image est traitée avec un triple regard : réel, symbolique et fantasmagorique ; comme autant de positions et de perceptions qui inscrivent un être dans une relation fictive où il devient le sujet infini d’interprétations et de projections.

Pablo Caillet-Bois

Année/s de résidence : 1991, Académie d'Architecture, France

Arts visuels

Chloé Cailleton

Année/s de résidence : 2007, Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, France

Musiques

Penelope Cain

Année/s de résidence : 2010, Université de Sydney - Fondation Power Institut pour les Arts et la Culture, Australie

Arts visuels

Mitch Cairns

Année/s de résidence : 2013, Galerie d'Art de la Nouvelle-Galles du Sud, Australie

Arts visuels

Kenny Cairo

Année/s de résidence : 2024, On~des

Musiques

Kenny Cairo (1996, Guadeloupe) est un artiste pluridisciplinaire basé en Guadeloupe.

La recherche menée dans le cadre d’un master (2022) à l’École des hautes études en sciences sociales, sous la direction de Jean-Marc Besse, constitue un tournant décisif dans son parcours. Elle témoigne d’une expérience vécue de l’attachement au paysage et ce qui le façonne. Dans sa pratique artistique, il collecte sur ses terrains de recherche des documents visuels et sonores, qu’il transforme grâce à des outils numériques.

Ses œuvres sonores ont été diffusées au Festival international Jean Rouch et interprétées par orchestre de haut-parleurs au Conservatoire George Bizet.

En 2024, il est lauréat d’un programme lancé par le Caribbean Cultural Institute et Contemporary And, où il pratique la critique d’art appliquée aux contextes caribéens.

La même année, il est lauréat du programme La Relève, initié par le Ministère de la Culture.

Site de l'artiste

Mak Paro|_@_|Mak Paro

Evelina Cajacob

Année/s de résidence : 1998, Visarte - Association professionnelle des artistes plasticiens de Graubünden, Suisse

Arts visuels

Ana Cajnko

Année/s de résidence : 1997, Association des artistes plasticiens de Slovénie

Arts visuels

John Calabrese

Année/s de résidence : 1967, Cité internationale des arts

Musiques

Fabrizio Calafuri

Année/s de résidence : 2003, Conseil des Arts australien

Arts visuels

Eloise Calandre

Année/s de résidence : 2000, Le Royal College of Arts de Londres, Royaume-Uni

Arts visuels

Rui Calçada Bastos

Année/s de résidence : 2002, Institut français

Arts visuels

Alexandre Caldara

Année/s de résidence : 2006, République et Canton de Neuchâtel, Suisse

Littératures

Eduardo Calderon

Année/s de résidence : 1994, Cité internationale des arts

Arts visuels