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Les artistes en résidence

Chaque année, la Cité internationale des arts accueille plus de 1 000 artistes du monde entier, leur offrant un espace de création, de recherche et d’échange unique. Ouverte à toutes les disciplines artistiques – arts visuels, musiques, littérature, cinéma, design et architecture, spectacle vivant ou encore commissariat d’exposition – elle leur permet de développer leurs pratiques et leurs projets dans un environnement propice à l’expérimentation.

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Hans Abrahamsson

Année/s de résidence : 1975, Académie royale des Beaux-Arts, Suède

Arts visuels

Davit Abrahamyan

Année/s de résidence : 2012, 2015, Association pour la promotion de l'art contemporain arménien

Arts visuels

Kerstin Abram Nilsson

Année/s de résidence : 1990, KRO / KIF Artistes, Suède

Arts visuels

Niko Abramidis

Année/s de résidence : 2017, Ministère de l'État de Bavière pour les Sciences et les Arts

Arts visuels

Alina Abramov

Année/s de résidence : 2007, Institut français

Arts visuels

Pimchas Abramovitch

Année/s de résidence : 1966, Ministère de la Culture et des Sports, Israël

Arts visuels

David Abramovitz

Année/s de résidence : 1978, Cité internationale des arts

Musiques

Rachel Abrams

Année/s de résidence : 2001, Université d'Alfred, Etats-Unis d'Amérique

Arts visuels

Gabriel Abrantes

Année/s de résidence : 2017, Cité internationale des arts

Arts visuels

Javier Abreu

Année/s de résidence : 2009, Institut français

Arts visuels

Nayabiwgué Abrin

Année/s de résidence : 2021, Direction des Affaires Culturelles de Guadeloupe

Arts visuels

Naya Abrin est un artiste performeur et réalisateur né en Guadeloupe à Pointe-à-Pitre dans le quartier de Boissard. Dès 2015, sa pratique est ancrée dans la performance et l’installation. Depuis 2020, il se concentre sur un projet documentaire avec son premier court métrage Dyab ka mayé fi’ay dèyè légliz, tourné en Guadeloupe en marge des élections municipales. Ce projet traite de l’image évocatrice de l’enfance et de la politique comme toile de fond des phénomènes insulaires. Il convoque une imagerie contemplative qui s’entremêle au mouvement haletant et frénétique du témoignage, de la procession carnavalesque et de la revendication politique locale.

Bigidi pa ka tombé, projet de résidence de Naya Abrin, signifie en créole “être en déséquilibre sans jamais vraiment tomber”. La collaboration avec l’artiste performeuse et danseuse Patricia Badin est l’un des enjeux principaux de ce projet voué à tirer parti de la Cité internationale des arts, lieu privilégié de la recherche collective fondée sur des pratiques corporelles et des questionnements théoriques.

À travers les danses Afro-descendantes que sont le twerk et le Gwo Ka, cette rencontre fera naître des performances et des espaces de réflexion autour du décolonialisme et de l’appropriation culturelle. Ce projet témoigne de l’état de résistance que l’on rencontre chez les personnes Afro-descendantes et Afro-caribéennes vis-à-vis des écueils traumatiques du post-colonialisme. Il contribue ainsi à mettre en exergue des corps racisés dansant, en travaillant sur la chute comme forme d’expression pouvant faire naitre des réflexes empathiques. Ces derniers permettraient au spectateur d’appréhender des violences systémiques souvent invisibilisées.

Naya Abrin s’attellera ensuite à l’écriture d’un documentaire sur le sujet de l’habitat spontané́ et de l’évolution des zones de précarité́ en Guadeloupe. Ce projet mettra en évidence la mémoire des populations issues de quartiers précaires, pris dans l’effacement de ce territoire en résilience péniblement assainit depuis l’édification du faubourg colonial jusqu’à nos jours.

Damien Paillard

Jalal Abs

Année/s de résidence : 1977, 1981, 1983, Académie d'Architecture, France, Cité internationale des arts

Arts visuels

Frantz Absalon

Année/s de résidence : 1981, 1982, Cité internationale des arts

Arts visuels

Annette Abscheidt

Année/s de résidence : 1984, Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, France

Musiques

Noor Abu Arafeh

Année/s de résidence : 2013, Association Welfare, Palestine

Arts visuels

Bahaa Eldin Abu Daya

Année/s de résidence : 2001, 2006, Association Welfare, Palestine, Ville de Paris, France

Arts visuels

Mahmoud Abu Ghalwa

Année/s de résidence : 2016, Institut français

Spectacle vivant

Shakeeb Abu Hamdan

Année/s de résidence : 2022, Cité internationale des arts

Arts visuels

Shakeeb Abu Hamdan est un artiste, musicien et ingénieur du son qui vit à Beyrouth, au Liban. Son travail visuel prend la forme de publications et d’installations d’impression/dessin dans lesquelles il utilise des systèmes d’images et des textes trouvés aux côtés de ses propres écrits et dessins pour examiner les façons étranges dont le récit historique est construit.
Son livre A Life Like Mine, That’s Impossible a été publié par Samandal Comics en 2021.

Ses enregistrements sonores et ses performances live s’articulent principalement autour de l’utilisation de tambours, d’objets métalliques, de cloches et de cymbales augmentés et amplifiés par des transducteurs de surface, des microphones, des effets de hauteur et de modulation, des mégaphones bon marché installés en boucle et d’autres appareils électroniques lo-tech. Il a également travaillé sur la conception sonore et la musique pour les performances et les films.

Aya Abu Hawash

Année/s de résidence : 2025, Ministère de la Culture

Arts visuels

Arab Abu Naser

Année/s de résidence : 2018, 2015, 2016, Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, Association Welfare, Palestine, Cité internationale des arts

Cinéma